Quand il s’agit d’assurance auto, une enseigne d’assurance se base les mensualités à payer suivant le profil du conducteur. C’est la condition qui sert généralement à fixer les tarifs de l’assurance. Le profil du conducteur se définit suivant les antécédents du client, son expérience au volant, et bien sûr son âge. Dernier point considéré : le type de voiture qu’il conduit.
Véhicules propres, définitions
Pour faire simple, c’est une voiture qui n’émet pas de gaz nocifs comme le Co², les oxydes d’azotes ou encore des particules fines. Suivant cette logique, une voiture propre peut donc être une voiture électrique, une hybride, une hybride rechargeable, une voiture à hydrogène. Certains modèles de voitures thermiques font aussi partie de cette catégorie.
Mais, suivant le développement de l’automobile, la définition de véhicule propre a aussi évolué. De nos jours, une voiture est propre quand elle n’émet pas plus de 60 g d’émissions de gaz par kilomètre. Dans cette fenêtre seule, les véhicules électriques et à hydrogènes et hybrides rechargeables sont qualifiés d’offices. De quoi influer sur le cout des assurances ? Le site Emission Zéro fait le point.
Des couts d’assurances réduites ?
Effectivement, dans l’optique de soutenir le gouvernement vers l’adoption d’un parc automobile plus propre, certaines enseignes d’assurances proposent des tarifs attractifs pour encourager l’adoption de l’électromobilité et des voitures propres. Aussi, selon une étude, très peu de voitures électriques sont impliquées dans des accidents ce qui aura pour incidence des primes d’assurances minorées.
